Titre : |
La post-récolte en Afrique : Actes du Séminaire International tenu à Abidjan (Côte d'Ivoire) 29 Janvier au 1er Février 1990 |
Type de document : |
texte imprimé |
Editeur : |
Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
[Disciplines] Agro-alimentaire [Disciplines] Agronomie
|
Mots-clés : |
Afrique, agriculture, récolte |
Résumé : |
Lorsque le problème de pénurie alimentaire se pose à un pays l'idée première qui germe dans l'esprit de tout et chacun est d'agrandir les surfaces emblavées. Cette conception est
également partagée en Afrique où les Écoles de formation agricole bloquent l'essentiel de leurs enseignements autour de la culture intensive, l'introduction ou la création de variétés à haut
rendement. Généralement la place réservée à la perte post-récolte est souvent minime et reléguée
au niveau de la défense des cultures où la biologie des déprédateurs prend le pas sur l'importance globale des pertes. Et pourtant, il n'est pas rare d'enregistrer dans les stocks sous les tropiques des pertes de l'ordre de 20 à 40%. Ce qui est énorme si l'on sait qu'il s'agit également d'une perte de
l'effort humain. En tout état de cause, ces pertes constituent en fait un frein au développement de certaines cultures dont les légumineuses.
l'AUPELF a entrepris depuis une dizaine d'années des concertations sur le problème de la post-récolte par le financement de plusieurs réunions internationales dans le but d'apporterdes améliorations à la situation. (...)
FOUA BI KOUAHOU |
Permalink : |
https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=531 |
La post-récolte en Afrique : Actes du Séminaire International tenu à Abidjan (Côte d'Ivoire) 29 Janvier au 1er Février 1990 [texte imprimé] . - Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie, [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
[Disciplines] Agro-alimentaire [Disciplines] Agronomie
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Mots-clés : |
Afrique, agriculture, récolte |
Résumé : |
Lorsque le problème de pénurie alimentaire se pose à un pays l'idée première qui germe dans l'esprit de tout et chacun est d'agrandir les surfaces emblavées. Cette conception est
également partagée en Afrique où les Écoles de formation agricole bloquent l'essentiel de leurs enseignements autour de la culture intensive, l'introduction ou la création de variétés à haut
rendement. Généralement la place réservée à la perte post-récolte est souvent minime et reléguée
au niveau de la défense des cultures où la biologie des déprédateurs prend le pas sur l'importance globale des pertes. Et pourtant, il n'est pas rare d'enregistrer dans les stocks sous les tropiques des pertes de l'ordre de 20 à 40%. Ce qui est énorme si l'on sait qu'il s'agit également d'une perte de
l'effort humain. En tout état de cause, ces pertes constituent en fait un frein au développement de certaines cultures dont les légumineuses.
l'AUPELF a entrepris depuis une dizaine d'années des concertations sur le problème de la post-récolte par le financement de plusieurs réunions internationales dans le but d'apporterdes améliorations à la situation. (...)
FOUA BI KOUAHOU |
Permalink : |
https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=531 |
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