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Auteur Ciprian Mihali |
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Titre : Existe-t-il une communauté francophone ? Titre original : Le discours et le projet Type de document : texte imprimé Auteurs : André Cabanis, Auteur ; Patrice Canivez, Auteur ; Ghania Graba, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur Langues : Français (fre) Résumé : Peut-on parler d’une communauté francophone ? Et si oui, en quel sens du mot « communauté » ? Que veut-on dire, que veut-on faire en parlant de la Francophonie comme d’une communauté ? Ces questions prennent acte de l’important développement de la francophonie au cours des dernières décennies, en fonction d’un double mouvement d’institutionnalisation et d’élargissement. Elles portent aussi sur les acquis et les orientations de ce mouvement.
S’il y a lieu de parler de communauté francophone, c’est au sens d’une communauté en devenir, d’une communauté de projet dont l’unité et la pérennité dépendront des succès obtenus dans la réalisation des objectifs qu’elle s’est assignés : le développement de la coopération culturelle, universitaire et scientifique, la promotion des droits de l’homme, de l’État de droit et de la démocratie. Dans l’espace public mondial en cours de constitution, la Francophonie peut jouer un rôle majeur, non seulement en se constituant comme l’une des scènes du dialogue et de la concertation internationale, mais aussi en contribuant à définir les normes et les critères des pratiques en matière de coopération civile et de partenariat politique. Parler du sens et du contenu de la notion de communauté francophone, c’est au fond se demander ce que l’on veut. C’est définir une orientation d’action et préciser les conditions du succès.
Les différents chapitres de ce livre s’inscrivent dans cette perspective. Ils visent à préciser le sens de la notion de communauté francophone. Ils analysent le concept de communauté, les rapports entre langue et communauté, la f/Francophonie elle-même (avec petit f et grand F) d’un point de vue historique, juridique, sociologique, philosophique. Ils s’attachent aussi à situer les enjeux de la notion en fonction des lieux et des situations, des acteurs et des stratégies dont dépendent l’existence et le développement d’une communauté
francophone.
Patrice CANIVEZEn ligne : http://www.revue-aspects.info/bibliotheque/ Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=959 Existe-t-il une communauté francophone ? = Le discours et le projet [texte imprimé] / André Cabanis, Auteur ; Patrice Canivez, Auteur ; Ghania Graba, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Résumé : Peut-on parler d’une communauté francophone ? Et si oui, en quel sens du mot « communauté » ? Que veut-on dire, que veut-on faire en parlant de la Francophonie comme d’une communauté ? Ces questions prennent acte de l’important développement de la francophonie au cours des dernières décennies, en fonction d’un double mouvement d’institutionnalisation et d’élargissement. Elles portent aussi sur les acquis et les orientations de ce mouvement.
S’il y a lieu de parler de communauté francophone, c’est au sens d’une communauté en devenir, d’une communauté de projet dont l’unité et la pérennité dépendront des succès obtenus dans la réalisation des objectifs qu’elle s’est assignés : le développement de la coopération culturelle, universitaire et scientifique, la promotion des droits de l’homme, de l’État de droit et de la démocratie. Dans l’espace public mondial en cours de constitution, la Francophonie peut jouer un rôle majeur, non seulement en se constituant comme l’une des scènes du dialogue et de la concertation internationale, mais aussi en contribuant à définir les normes et les critères des pratiques en matière de coopération civile et de partenariat politique. Parler du sens et du contenu de la notion de communauté francophone, c’est au fond se demander ce que l’on veut. C’est définir une orientation d’action et préciser les conditions du succès.
Les différents chapitres de ce livre s’inscrivent dans cette perspective. Ils visent à préciser le sens de la notion de communauté francophone. Ils analysent le concept de communauté, les rapports entre langue et communauté, la f/Francophonie elle-même (avec petit f et grand F) d’un point de vue historique, juridique, sociologique, philosophique. Ils s’attachent aussi à situer les enjeux de la notion en fonction des lieux et des situations, des acteurs et des stratégies dont dépendent l’existence et le développement d’une communauté
francophone.
Patrice CANIVEZEn ligne : http://www.revue-aspects.info/bibliotheque/ Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=959 Documents numériques
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Existe-t-il une communauté francophone ?URLLa responsabilité de protéger : une perspective francophone / André Cabanis ; Jean-Marie Crouzatier ; Ruxandra Ivan ; Ciprian Mihali ; Ernest-Marie Mbonda / Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie
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Titre : La responsabilité de protéger : une perspective francophone Type de document : texte imprimé Auteurs : André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur Editeur : Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie Langues : Français (fre) Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Depuis les années 1990, nombre de textes internationaux consacrent la sécurité des populations comme un droit de
l’Homme et affirment que la protection de ces dernières incombe non seulement aux États dont elles relèvent, mais
aussi à la communauté internationale. L’un des mérites du concept de responsabilité de protéger est de dépasser l’opposition entre les États attachés à une stricte application du principe de souveraineté et ceux qui défendent les interventions militaires à des fins humanitaires.
L’émergence du concept part de l’idée que la sécurité internationale doit être pensée, non plus uniquement en fonction de la sécurité des États dans le cadre d’un conflit interétatique, mais aussi en fonction de la sécurité des populations civiles victimes d’un conflit armé, surtout interne. Le Secrétaire général de l’ONU reconnaît la nécessité de définir plus clairement la portée et l’applicabilité du principe : comment peut-il être concilié avec des concepts traditionnels tels que celui de souveraineté de l’État ? Comment ce principe doit-il être mis en oeuvre et comment garantir qu’il n’en sera pas fait un usage contraire aux règles
des Nations unies ? L’ONU a-t-elle les moyens de rendre ce principe opérationnel ? La Francophonie a apporté sa contribution au débat, en
adoptant en 2006 la déclaration de Saint-Boniface qui reprend et précise la notion de responsabilité de protéger.
Ceci n’a rien d’étonnant pour deux raisons : d’abord la Francophonie s’inscrit clairement dans le cadre des Nations unies et aucune des réflexions engagées au sein de l’ONU ne lui est étrangère ; ensuite la Francophonie accorde la première place aux droits de l’Homme et à la dignité de la personne humaine.
La réflexion de ce recueil porte sur la plus-value que peut apporter l’OIF en s’associant à cette promotion du concept de responsabilité de protéger : plus-value en matière de réflexion sur le concept ; plus-value quant à son opérationnalité ; la réflexion du collectif s’attache également à évaluer l’efficacité politique de cette initiative de la Francophonie.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=465 La responsabilité de protéger : une perspective francophone [texte imprimé] / André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur . - Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie, [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Depuis les années 1990, nombre de textes internationaux consacrent la sécurité des populations comme un droit de
l’Homme et affirment que la protection de ces dernières incombe non seulement aux États dont elles relèvent, mais
aussi à la communauté internationale. L’un des mérites du concept de responsabilité de protéger est de dépasser l’opposition entre les États attachés à une stricte application du principe de souveraineté et ceux qui défendent les interventions militaires à des fins humanitaires.
L’émergence du concept part de l’idée que la sécurité internationale doit être pensée, non plus uniquement en fonction de la sécurité des États dans le cadre d’un conflit interétatique, mais aussi en fonction de la sécurité des populations civiles victimes d’un conflit armé, surtout interne. Le Secrétaire général de l’ONU reconnaît la nécessité de définir plus clairement la portée et l’applicabilité du principe : comment peut-il être concilié avec des concepts traditionnels tels que celui de souveraineté de l’État ? Comment ce principe doit-il être mis en oeuvre et comment garantir qu’il n’en sera pas fait un usage contraire aux règles
des Nations unies ? L’ONU a-t-elle les moyens de rendre ce principe opérationnel ? La Francophonie a apporté sa contribution au débat, en
adoptant en 2006 la déclaration de Saint-Boniface qui reprend et précise la notion de responsabilité de protéger.
Ceci n’a rien d’étonnant pour deux raisons : d’abord la Francophonie s’inscrit clairement dans le cadre des Nations unies et aucune des réflexions engagées au sein de l’ONU ne lui est étrangère ; ensuite la Francophonie accorde la première place aux droits de l’Homme et à la dignité de la personne humaine.
La réflexion de ce recueil porte sur la plus-value que peut apporter l’OIF en s’associant à cette promotion du concept de responsabilité de protéger : plus-value en matière de réflexion sur le concept ; plus-value quant à son opérationnalité ; la réflexion du collectif s’attache également à évaluer l’efficacité politique de cette initiative de la Francophonie.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=465 Documents numériques
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