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Méthodologie de la recherche en droit international, géopolitique et relations internationales / André Cabanis
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Titre : Méthodologie de la recherche en droit international, géopolitique et relations internationales Type de document : texte imprimé Auteurs : André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur ISBN/ISSN/EAN : 978-–9-73–7913–93–-7 Catégories : [Disciplines] Droit Mots-clés : méthodologie droit droit international Résumé : L’objet du présent ouvrage – comme l’indique son titre – est de fournir une méthode de travail susceptible d’être utilisée dans le cadre de toute étude relative au domaine international, en insistant sur les avantages d’une approche pluridisciplinaire. Pour mieux en cerner l’intérêt, il est nécessaire de reprendre successivement chacun des termes qui composent son intitulé.
Le terme « méthodologie » est défini comme « l’étude des méthodes propres aux différentes sciences »1. Le but de la méthodologie n’est donc pas de fournir un enseignement portant sur le contenu d’une matière ou d’une discipline, mais vise à apprendre à gérer rationnellement les connaissances acquises dans une matière ou une discipline. Ceci suppose la connaissance – et la maîtrise – d’outils méthodologiques adaptés aux objectifs scientifiques et pédagogiques préalablement définis. Néanmoins, le choix d’une certaine méthode implique le choix d’une certaine approche théorique : il est donc indispensable que le chercheur connaisse les courants théoriques dominants dans sa discipline et les disciplines connexes représentées ici, car il (elle) devra se positionner par rapport à ces courants.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=247 Méthodologie de la recherche en droit international, géopolitique et relations internationales [texte imprimé] / André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur . - [s.d.].
ISSN : 978-–9-73–7913–93–-7
Catégories : [Disciplines] Droit Mots-clés : méthodologie droit droit international Résumé : L’objet du présent ouvrage – comme l’indique son titre – est de fournir une méthode de travail susceptible d’être utilisée dans le cadre de toute étude relative au domaine international, en insistant sur les avantages d’une approche pluridisciplinaire. Pour mieux en cerner l’intérêt, il est nécessaire de reprendre successivement chacun des termes qui composent son intitulé.
Le terme « méthodologie » est défini comme « l’étude des méthodes propres aux différentes sciences »1. Le but de la méthodologie n’est donc pas de fournir un enseignement portant sur le contenu d’une matière ou d’une discipline, mais vise à apprendre à gérer rationnellement les connaissances acquises dans une matière ou une discipline. Ceci suppose la connaissance – et la maîtrise – d’outils méthodologiques adaptés aux objectifs scientifiques et pédagogiques préalablement définis. Néanmoins, le choix d’une certaine méthode implique le choix d’une certaine approche théorique : il est donc indispensable que le chercheur connaisse les courants théoriques dominants dans sa discipline et les disciplines connexes représentées ici, car il (elle) devra se positionner par rapport à ces courants.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=247 Documents numériques
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Ouvrir en mode visionneuseURLLa responsabilité de protéger : une perspective francophone / André Cabanis ; Jean-Marie Crouzatier ; Ruxandra Ivan ; Ciprian Mihali ; Ernest-Marie Mbonda / Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie
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Titre : La responsabilité de protéger : une perspective francophone Type de document : texte imprimé Auteurs : André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur Editeur : Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie Langues : Français (fre) Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Depuis les années 1990, nombre de textes internationaux consacrent la sécurité des populations comme un droit de
l’Homme et affirment que la protection de ces dernières incombe non seulement aux États dont elles relèvent, mais
aussi à la communauté internationale. L’un des mérites du concept de responsabilité de protéger est de dépasser l’opposition entre les États attachés à une stricte application du principe de souveraineté et ceux qui défendent les interventions militaires à des fins humanitaires.
L’émergence du concept part de l’idée que la sécurité internationale doit être pensée, non plus uniquement en fonction de la sécurité des États dans le cadre d’un conflit interétatique, mais aussi en fonction de la sécurité des populations civiles victimes d’un conflit armé, surtout interne. Le Secrétaire général de l’ONU reconnaît la nécessité de définir plus clairement la portée et l’applicabilité du principe : comment peut-il être concilié avec des concepts traditionnels tels que celui de souveraineté de l’État ? Comment ce principe doit-il être mis en oeuvre et comment garantir qu’il n’en sera pas fait un usage contraire aux règles
des Nations unies ? L’ONU a-t-elle les moyens de rendre ce principe opérationnel ? La Francophonie a apporté sa contribution au débat, en
adoptant en 2006 la déclaration de Saint-Boniface qui reprend et précise la notion de responsabilité de protéger.
Ceci n’a rien d’étonnant pour deux raisons : d’abord la Francophonie s’inscrit clairement dans le cadre des Nations unies et aucune des réflexions engagées au sein de l’ONU ne lui est étrangère ; ensuite la Francophonie accorde la première place aux droits de l’Homme et à la dignité de la personne humaine.
La réflexion de ce recueil porte sur la plus-value que peut apporter l’OIF en s’associant à cette promotion du concept de responsabilité de protéger : plus-value en matière de réflexion sur le concept ; plus-value quant à son opérationnalité ; la réflexion du collectif s’attache également à évaluer l’efficacité politique de cette initiative de la Francophonie.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=465 La responsabilité de protéger : une perspective francophone [texte imprimé] / André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur . - Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie, [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Depuis les années 1990, nombre de textes internationaux consacrent la sécurité des populations comme un droit de
l’Homme et affirment que la protection de ces dernières incombe non seulement aux États dont elles relèvent, mais
aussi à la communauté internationale. L’un des mérites du concept de responsabilité de protéger est de dépasser l’opposition entre les États attachés à une stricte application du principe de souveraineté et ceux qui défendent les interventions militaires à des fins humanitaires.
L’émergence du concept part de l’idée que la sécurité internationale doit être pensée, non plus uniquement en fonction de la sécurité des États dans le cadre d’un conflit interétatique, mais aussi en fonction de la sécurité des populations civiles victimes d’un conflit armé, surtout interne. Le Secrétaire général de l’ONU reconnaît la nécessité de définir plus clairement la portée et l’applicabilité du principe : comment peut-il être concilié avec des concepts traditionnels tels que celui de souveraineté de l’État ? Comment ce principe doit-il être mis en oeuvre et comment garantir qu’il n’en sera pas fait un usage contraire aux règles
des Nations unies ? L’ONU a-t-elle les moyens de rendre ce principe opérationnel ? La Francophonie a apporté sa contribution au débat, en
adoptant en 2006 la déclaration de Saint-Boniface qui reprend et précise la notion de responsabilité de protéger.
Ceci n’a rien d’étonnant pour deux raisons : d’abord la Francophonie s’inscrit clairement dans le cadre des Nations unies et aucune des réflexions engagées au sein de l’ONU ne lui est étrangère ; ensuite la Francophonie accorde la première place aux droits de l’Homme et à la dignité de la personne humaine.
La réflexion de ce recueil porte sur la plus-value que peut apporter l’OIF en s’associant à cette promotion du concept de responsabilité de protéger : plus-value en matière de réflexion sur le concept ; plus-value quant à son opérationnalité ; la réflexion du collectif s’attache également à évaluer l’efficacité politique de cette initiative de la Francophonie.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=465 Documents numériques
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La responsabilité de protégerURLSolidarité en (fF)rancophonie : réalité ou faux-semblant ? / Jean-Marie Crouzatier ; Sélim Abou ; Ruxandra Ivan ; Jacques Soppelsa / Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie
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Titre : Solidarité en (fF)rancophonie : réalité ou faux-semblant ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Sélim Abou, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur Editeur : Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie Langues : Français (fre) Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Les mots ont un sens.
Un francophone est quelqu’un qui peut s’exprimer en français. La francophonie (avec un f minuscule) rassemble ceux qui font usage du français. La Francophonie (avec une majuscule, s’il vous plait !) désigne l’ensemble des institutions dont s’est progressivement dotée cette communauté d’usagers de la langue française. Ce qui est curieux, amusant, révélateur peut-être, c’est de voir que le vocable «partage» a été progressivement substitué à la notion d’usage. Désormais nous ne faisons plus usage du français, nous avons la langue
française « en partage ». L’usage, c’est un constat. Le partage, c’est un choix, et c’est généreux.
Comme si la Francophonie devait être beaucoup plus qu’une notion linguistique. La Francophonie, jadis suspectée d’être le faux-nez
d’un néo-colonialisme français, serait-elle devenu l’instrument de résistance à un autre impérialisme ? N’est-ce pas sous-estimer la diversité, l’hétérogénéité d’une organisation qui s’est beaucoup étendue, au point que sa cohérence peut être discutée et que certains dénoncent désormais son laxisme, sa perte de repères, son côté « auberge espagnole » ?
Tout cela n’interdit pas de s’interroger sur la réalité de ces « solidarités » si souvent proclamées dans les prises de position du monde francophone. Soumettre des déclarations à un examen critique, c’est bien là le rôle des universitaires et c’est pourquoi cette étude est utile, nécessaire.
Jacques LEGENDREPermalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=463 Solidarité en (fF)rancophonie : réalité ou faux-semblant ? [texte imprimé] / Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Sélim Abou, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur . - Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie, [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Les mots ont un sens.
Un francophone est quelqu’un qui peut s’exprimer en français. La francophonie (avec un f minuscule) rassemble ceux qui font usage du français. La Francophonie (avec une majuscule, s’il vous plait !) désigne l’ensemble des institutions dont s’est progressivement dotée cette communauté d’usagers de la langue française. Ce qui est curieux, amusant, révélateur peut-être, c’est de voir que le vocable «partage» a été progressivement substitué à la notion d’usage. Désormais nous ne faisons plus usage du français, nous avons la langue
française « en partage ». L’usage, c’est un constat. Le partage, c’est un choix, et c’est généreux.
Comme si la Francophonie devait être beaucoup plus qu’une notion linguistique. La Francophonie, jadis suspectée d’être le faux-nez
d’un néo-colonialisme français, serait-elle devenu l’instrument de résistance à un autre impérialisme ? N’est-ce pas sous-estimer la diversité, l’hétérogénéité d’une organisation qui s’est beaucoup étendue, au point que sa cohérence peut être discutée et que certains dénoncent désormais son laxisme, sa perte de repères, son côté « auberge espagnole » ?
Tout cela n’interdit pas de s’interroger sur la réalité de ces « solidarités » si souvent proclamées dans les prises de position du monde francophone. Soumettre des déclarations à un examen critique, c’est bien là le rôle des universitaires et c’est pourquoi cette étude est utile, nécessaire.
Jacques LEGENDREPermalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=463 Documents numériques
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Solidarité en (fF)rancophonieAdobe Acrobat PDF![]()
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