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Auteur Jean-Marie Crouzatier |
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Droit international de la santé / Jean-Marie Crouzatier / Paris [France] : Éditions des archives contemporaines (2009)
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Titre : Droit international de la santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Crouzatier, Auteur Editeur : Paris [France] : Éditions des archives contemporaines Année de publication : 2009 Collection : Manuels Importance : 136 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-914610-93-3 Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] SantéMots-clés : Santé publique Droit international Résumé : Le droit international de la santé est une branche du droit international public qui comprend l'ensemble des règles juridiques applicables par la communauté internationale aux actions de santé. C'est dire qu'il englobe tous les domaines qui ont un lien suffisamment direct avec la protection de la santé humaine : le droit médical international ; le droit international pharmaceutique; le droit hospitalier international; la partie du droit humanitaire qui concerne les activités sanitaires dans le cadre des conflits internationaux et non internationaux, ainsi que la protection sanitaire des populations civiles ; et le droit international des droits de l'Homme dans toutes ses dispositions relatives au droit à la vie et à la santé. L'ouvrage détaille successivement les institutions qui contribuent à l'élaboration du droit international de la santé : l'Organisation mondiale de la santé ; les multinationales pharmaceutiques et l'Organisation mondiale du commerce ; les organisations non gouvernementales. Il présente ensuite les principaux domaines du droit international de la santé : le droit international médical ; le droit international de l'action humanitaire ; le droit international de la bioéthique. Il évalue enfin les mécanismes de mise en œuvre du droit international de la santé, le contrôle de son application, et la sanction des violations constatées. Ce manuel est destiné principalement aux étudiants, juristes ou non, qui souhaitent mieux comprendre les principes internationaux qui encadrent, le plus souvent de manière non impérative, les législations et réglementations nationales en matière de santé. Car le droit international de la santé ne se substitue pas aux droits internes ; le plus souvent, les institutions internationales tentent de concilier et de coordonner les politiques nationales de santé publique. En ligne : http://www.archivescontemporaines.com/index.asp?lg=1&menu=74&mm=&Filtre=&Nomidre [...] Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=191 Droit international de la santé [texte imprimé] / Jean-Marie Crouzatier, Auteur . - Paris (41, rue Barrault, 75013, France) : Éditions des archives contemporaines, 2009 . - 136 p.. - (Manuels) .
ISBN : 978-2-914610-93-3
Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] SantéMots-clés : Santé publique Droit international Résumé : Le droit international de la santé est une branche du droit international public qui comprend l'ensemble des règles juridiques applicables par la communauté internationale aux actions de santé. C'est dire qu'il englobe tous les domaines qui ont un lien suffisamment direct avec la protection de la santé humaine : le droit médical international ; le droit international pharmaceutique; le droit hospitalier international; la partie du droit humanitaire qui concerne les activités sanitaires dans le cadre des conflits internationaux et non internationaux, ainsi que la protection sanitaire des populations civiles ; et le droit international des droits de l'Homme dans toutes ses dispositions relatives au droit à la vie et à la santé. L'ouvrage détaille successivement les institutions qui contribuent à l'élaboration du droit international de la santé : l'Organisation mondiale de la santé ; les multinationales pharmaceutiques et l'Organisation mondiale du commerce ; les organisations non gouvernementales. Il présente ensuite les principaux domaines du droit international de la santé : le droit international médical ; le droit international de l'action humanitaire ; le droit international de la bioéthique. Il évalue enfin les mécanismes de mise en œuvre du droit international de la santé, le contrôle de son application, et la sanction des violations constatées. Ce manuel est destiné principalement aux étudiants, juristes ou non, qui souhaitent mieux comprendre les principes internationaux qui encadrent, le plus souvent de manière non impérative, les législations et réglementations nationales en matière de santé. Car le droit international de la santé ne se substitue pas aux droits internes ; le plus souvent, les institutions internationales tentent de concilier et de coordonner les politiques nationales de santé publique. En ligne : http://www.archivescontemporaines.com/index.asp?lg=1&menu=74&mm=&Filtre=&Nomidre [...] Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=191 Méthodologie de la recherche en droit international, géopolitique et relations internationales / André Cabanis
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Titre : Méthodologie de la recherche en droit international, géopolitique et relations internationales Type de document : texte imprimé Auteurs : André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur ISBN/ISSN/EAN : 978-–9-73–7913–93–-7 Catégories : [Disciplines] Droit Mots-clés : méthodologie droit droit international Résumé : L’objet du présent ouvrage – comme l’indique son titre – est de fournir une méthode de travail susceptible d’être utilisée dans le cadre de toute étude relative au domaine international, en insistant sur les avantages d’une approche pluridisciplinaire. Pour mieux en cerner l’intérêt, il est nécessaire de reprendre successivement chacun des termes qui composent son intitulé.
Le terme « méthodologie » est défini comme « l’étude des méthodes propres aux différentes sciences »1. Le but de la méthodologie n’est donc pas de fournir un enseignement portant sur le contenu d’une matière ou d’une discipline, mais vise à apprendre à gérer rationnellement les connaissances acquises dans une matière ou une discipline. Ceci suppose la connaissance – et la maîtrise – d’outils méthodologiques adaptés aux objectifs scientifiques et pédagogiques préalablement définis. Néanmoins, le choix d’une certaine méthode implique le choix d’une certaine approche théorique : il est donc indispensable que le chercheur connaisse les courants théoriques dominants dans sa discipline et les disciplines connexes représentées ici, car il (elle) devra se positionner par rapport à ces courants.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=247 Méthodologie de la recherche en droit international, géopolitique et relations internationales [texte imprimé] / André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur . - [s.d.].
ISSN : 978-–9-73–7913–93–-7
Catégories : [Disciplines] Droit Mots-clés : méthodologie droit droit international Résumé : L’objet du présent ouvrage – comme l’indique son titre – est de fournir une méthode de travail susceptible d’être utilisée dans le cadre de toute étude relative au domaine international, en insistant sur les avantages d’une approche pluridisciplinaire. Pour mieux en cerner l’intérêt, il est nécessaire de reprendre successivement chacun des termes qui composent son intitulé.
Le terme « méthodologie » est défini comme « l’étude des méthodes propres aux différentes sciences »1. Le but de la méthodologie n’est donc pas de fournir un enseignement portant sur le contenu d’une matière ou d’une discipline, mais vise à apprendre à gérer rationnellement les connaissances acquises dans une matière ou une discipline. Ceci suppose la connaissance – et la maîtrise – d’outils méthodologiques adaptés aux objectifs scientifiques et pédagogiques préalablement définis. Néanmoins, le choix d’une certaine méthode implique le choix d’une certaine approche théorique : il est donc indispensable que le chercheur connaisse les courants théoriques dominants dans sa discipline et les disciplines connexes représentées ici, car il (elle) devra se positionner par rapport à ces courants.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=247 Documents numériques
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Ouvrir en mode visionneuseURLLa responsabilité de protéger : une perspective francophone / André Cabanis ; Jean-Marie Crouzatier ; Ruxandra Ivan ; Ciprian Mihali ; Ernest-Marie Mbonda / Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie
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Titre : La responsabilité de protéger : une perspective francophone Type de document : texte imprimé Auteurs : André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur Editeur : Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie Langues : Français (fre) Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Depuis les années 1990, nombre de textes internationaux consacrent la sécurité des populations comme un droit de
l’Homme et affirment que la protection de ces dernières incombe non seulement aux États dont elles relèvent, mais
aussi à la communauté internationale. L’un des mérites du concept de responsabilité de protéger est de dépasser l’opposition entre les États attachés à une stricte application du principe de souveraineté et ceux qui défendent les interventions militaires à des fins humanitaires.
L’émergence du concept part de l’idée que la sécurité internationale doit être pensée, non plus uniquement en fonction de la sécurité des États dans le cadre d’un conflit interétatique, mais aussi en fonction de la sécurité des populations civiles victimes d’un conflit armé, surtout interne. Le Secrétaire général de l’ONU reconnaît la nécessité de définir plus clairement la portée et l’applicabilité du principe : comment peut-il être concilié avec des concepts traditionnels tels que celui de souveraineté de l’État ? Comment ce principe doit-il être mis en oeuvre et comment garantir qu’il n’en sera pas fait un usage contraire aux règles
des Nations unies ? L’ONU a-t-elle les moyens de rendre ce principe opérationnel ? La Francophonie a apporté sa contribution au débat, en
adoptant en 2006 la déclaration de Saint-Boniface qui reprend et précise la notion de responsabilité de protéger.
Ceci n’a rien d’étonnant pour deux raisons : d’abord la Francophonie s’inscrit clairement dans le cadre des Nations unies et aucune des réflexions engagées au sein de l’ONU ne lui est étrangère ; ensuite la Francophonie accorde la première place aux droits de l’Homme et à la dignité de la personne humaine.
La réflexion de ce recueil porte sur la plus-value que peut apporter l’OIF en s’associant à cette promotion du concept de responsabilité de protéger : plus-value en matière de réflexion sur le concept ; plus-value quant à son opérationnalité ; la réflexion du collectif s’attache également à évaluer l’efficacité politique de cette initiative de la Francophonie.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=465 La responsabilité de protéger : une perspective francophone [texte imprimé] / André Cabanis, Auteur ; Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Ciprian Mihali, Auteur ; Ernest-Marie Mbonda, Auteur . - Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie, [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Depuis les années 1990, nombre de textes internationaux consacrent la sécurité des populations comme un droit de
l’Homme et affirment que la protection de ces dernières incombe non seulement aux États dont elles relèvent, mais
aussi à la communauté internationale. L’un des mérites du concept de responsabilité de protéger est de dépasser l’opposition entre les États attachés à une stricte application du principe de souveraineté et ceux qui défendent les interventions militaires à des fins humanitaires.
L’émergence du concept part de l’idée que la sécurité internationale doit être pensée, non plus uniquement en fonction de la sécurité des États dans le cadre d’un conflit interétatique, mais aussi en fonction de la sécurité des populations civiles victimes d’un conflit armé, surtout interne. Le Secrétaire général de l’ONU reconnaît la nécessité de définir plus clairement la portée et l’applicabilité du principe : comment peut-il être concilié avec des concepts traditionnels tels que celui de souveraineté de l’État ? Comment ce principe doit-il être mis en oeuvre et comment garantir qu’il n’en sera pas fait un usage contraire aux règles
des Nations unies ? L’ONU a-t-elle les moyens de rendre ce principe opérationnel ? La Francophonie a apporté sa contribution au débat, en
adoptant en 2006 la déclaration de Saint-Boniface qui reprend et précise la notion de responsabilité de protéger.
Ceci n’a rien d’étonnant pour deux raisons : d’abord la Francophonie s’inscrit clairement dans le cadre des Nations unies et aucune des réflexions engagées au sein de l’ONU ne lui est étrangère ; ensuite la Francophonie accorde la première place aux droits de l’Homme et à la dignité de la personne humaine.
La réflexion de ce recueil porte sur la plus-value que peut apporter l’OIF en s’associant à cette promotion du concept de responsabilité de protéger : plus-value en matière de réflexion sur le concept ; plus-value quant à son opérationnalité ; la réflexion du collectif s’attache également à évaluer l’efficacité politique de cette initiative de la Francophonie.Permalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=465 Documents numériques
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La responsabilité de protégerURLSolidarité en (fF)rancophonie : réalité ou faux-semblant ? / Jean-Marie Crouzatier ; Sélim Abou ; Ruxandra Ivan ; Jacques Soppelsa / Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie
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Titre : Solidarité en (fF)rancophonie : réalité ou faux-semblant ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Sélim Abou, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur Editeur : Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie Langues : Français (fre) Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Les mots ont un sens.
Un francophone est quelqu’un qui peut s’exprimer en français. La francophonie (avec un f minuscule) rassemble ceux qui font usage du français. La Francophonie (avec une majuscule, s’il vous plait !) désigne l’ensemble des institutions dont s’est progressivement dotée cette communauté d’usagers de la langue française. Ce qui est curieux, amusant, révélateur peut-être, c’est de voir que le vocable «partage» a été progressivement substitué à la notion d’usage. Désormais nous ne faisons plus usage du français, nous avons la langue
française « en partage ». L’usage, c’est un constat. Le partage, c’est un choix, et c’est généreux.
Comme si la Francophonie devait être beaucoup plus qu’une notion linguistique. La Francophonie, jadis suspectée d’être le faux-nez
d’un néo-colonialisme français, serait-elle devenu l’instrument de résistance à un autre impérialisme ? N’est-ce pas sous-estimer la diversité, l’hétérogénéité d’une organisation qui s’est beaucoup étendue, au point que sa cohérence peut être discutée et que certains dénoncent désormais son laxisme, sa perte de repères, son côté « auberge espagnole » ?
Tout cela n’interdit pas de s’interroger sur la réalité de ces « solidarités » si souvent proclamées dans les prises de position du monde francophone. Soumettre des déclarations à un examen critique, c’est bien là le rôle des universitaires et c’est pourquoi cette étude est utile, nécessaire.
Jacques LEGENDREPermalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=463 Solidarité en (fF)rancophonie : réalité ou faux-semblant ? [texte imprimé] / Jean-Marie Crouzatier, Auteur ; Sélim Abou, Auteur ; Ruxandra Ivan, Auteur ; Jacques Soppelsa, Auteur . - Paris / Montréal : Agence universitaire de la francophonie, [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : [Disciplines] Droit
[Disciplines] PolitiqueRésumé : Les mots ont un sens.
Un francophone est quelqu’un qui peut s’exprimer en français. La francophonie (avec un f minuscule) rassemble ceux qui font usage du français. La Francophonie (avec une majuscule, s’il vous plait !) désigne l’ensemble des institutions dont s’est progressivement dotée cette communauté d’usagers de la langue française. Ce qui est curieux, amusant, révélateur peut-être, c’est de voir que le vocable «partage» a été progressivement substitué à la notion d’usage. Désormais nous ne faisons plus usage du français, nous avons la langue
française « en partage ». L’usage, c’est un constat. Le partage, c’est un choix, et c’est généreux.
Comme si la Francophonie devait être beaucoup plus qu’une notion linguistique. La Francophonie, jadis suspectée d’être le faux-nez
d’un néo-colonialisme français, serait-elle devenu l’instrument de résistance à un autre impérialisme ? N’est-ce pas sous-estimer la diversité, l’hétérogénéité d’une organisation qui s’est beaucoup étendue, au point que sa cohérence peut être discutée et que certains dénoncent désormais son laxisme, sa perte de repères, son côté « auberge espagnole » ?
Tout cela n’interdit pas de s’interroger sur la réalité de ces « solidarités » si souvent proclamées dans les prises de position du monde francophone. Soumettre des déclarations à un examen critique, c’est bien là le rôle des universitaires et c’est pourquoi cette étude est utile, nécessaire.
Jacques LEGENDREPermalink : https://bibliotheque.auf.org/index.php?lvl=notice_display&id=463 Documents numériques
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Solidarité en (fF)rancophonieAdobe Acrobat PDF![]()
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